dimanche 20 mars 2011

Autocritique d'un bloggeur repentant


C'est vrai, beaucoup trop de fautes d'orthographe se glissent dans mes textes que je ne relis pas assez, faute de temps, avant publication. Les analyses sont parfois, je vous l'accorde, un brin rapides. Vous avez raison de le souligner, même si certaines fois, le ton employé par certains correspondants anonymes est franchement déplaisant.
A ma décharge, ce n'est pas simple, quand il faut travailler par ailleurs, de se montrer aussi perfectionniste dans un blog quasi quotidien que pour des articles ou des livres.
Au départ,j'avais eu envie d'écrire un blog pour poursuivre les échanges passionnants que j'avais eu à Tunis lors de la présentation de "la Régente" et de "Notre ami Ben Ali". J'avais le sentiment qu'un blog était un journal personnel qu'on laissait lire à quelques amis connus et inconnus, qui n'étaient tenus à rien. C'est un vrai plaisir de converser avec beaucoup d'entre vous.
Mais apparemment, d'autres ont une vision très exigeante de cet exercice sans prétention. Je vais donc interrompre provisoirement ce blog. Et je ne le reprendrai lorsque j'aurai plus de disponibilité, notamment après la liquidation définitive du site Bakchich que j'ai animé, avec Xavier Monnier et Jacques Marie Bourget, pendant trois ans.
Il me faut aussi terminer le petit livre que j'ai commencé sur les relations entre Paris et Tunis.
A très vite, chers amis et lecteurs. Et vive la Tunisie libre, où il fait bon vivre désormais.